Test du Kindle Fire HD d’Amazon

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Les tablettes petits formats ont la cote en ce moment. Même Apple s’y met, c’est dire. Dans la gamme des « petits, mais costauds », il en est pour l’instant deux qui font beaucoup parler d’elles : la Nexus 7 et le Kindle Fire. Deux machines de bonne qualité, bien équipées et proposées à partir d’un prix plancher : 200 €. D’ailleurs, à ce tarif, les constructeurs ne font pas de marge et comptent sur leur offre de contenu pour se renflouer. La promesse est donc alléchante. Trop belle pour être vraie ? On va tenter de donner des éléments de réponse dans ce test de la version « HD » du Kindle Fire.

Mise à jour : ce modèle n’existe plus, mais nous avons testé le Fire HD 8 qui est du même acabit.

Amazon a beau vendre absolument de tout, son cœur de métier était à l’origine le livre. Dès 2007, il introduit d’ailleurs le Kindle, dont les générations successives continuent d’être les liseuses à encre électronique les plus populaires au monde.

Amazon s’est considérablement diversifié depuis sa naissance en 1995. L’entreprise est devenue une galaxie de services énorme et un géant des médias. L’essor des tablettes tactiles l’a tout naturellement poussé à sortir son propre terminal, directement adossé à ses services. Ainsi naquit le Kindle Fire fin 2011. C’est là que ça complique un peu. Amazon propose, au moment où j’écris ces lignes, deux Kindle Fire. Le moins cher est proposé à 159 € et c’est une version rafraîchie du Kindle Fire introduit en 2011 (processeur un peu plus rapide et plus de RAM).

Le Kindle Fire HD, à 199€, est la version que nous testons ici. C’est un Kindle Fire doté d’un écran de meilleure qualité, nous y reviendrons. Les deux machines ont un écran au format 7 pouces, une tablette plus grande au format de 8,9 pouces est commercialisée aux États-Unis et prévue pour la France le 20 novembre.

Tarifs

Un exemple d’écran de veille sponsorisé

Passons maintenant au vif du sujet. Le Kindle Fire HD se commande directement sur le site d’Amazon. Il est disponible en versions 16 Go ou 32 Go à des prix respectifs de 214 € et 264 €. Comment ça ? Ce n’était pas 199 € ? En fait, Amazon vous propose d’acheter les tablettes avec des « Offres Spéciales » qui font baisser de 15 € le prix de votre machine. La contrepartie ? Avoir des publicités ciblées sur votre écran de veille.

Cela peut paraître rebutant, mais dans la pratique, je vous recommande chaudement de prendre vos machines avec « Offres Spéciales ». Les publicités ne sont absolument pas invasives, elles apparaissent uniquement sur l’écran de veille et pas pendant l’utilisation de la tablette. D’autre part, si d’aventure elles vous devenaient intolérables, vous pouvez à tout moment vous désinscrire du programme, moyennant les 15 € de différence.

Packaging

Le Kindle Fire se commande directement sur le site d’Amazon et vous arrive dans un petit carton noir assez chic, dont l’ouverture est totalement « Frustration Free » (c’est Amazon qui le dit). Il suffit en effet de déchirer une mince bande de carton (comme sur un coliposte) pour avoir accès à notre nouvelle tablette… et à pas grand-chose d’autre. Le carton contient :

  • La tablette.
  • Un câble USB.
  • Un dépliant de mise en route.

Minimaliste. On s’y attendait un peu. On remarque surtout l’absence d’adaptateur secteur. Tout transformateur USB fera néanmoins l’affaire, y compris les ports de votre ordinateur. Attention cependant, sur un port USB standard, la recharge peut être longue. De plus en plus d’ordinateurs modernes sont équipés de ports USB plus puissants. Il faudra penser à les utiliser, sous peine de doubler ou tripler le temps de rechargement. Mais globalement, si vous n’en avez pas un d’avance, acquérir un chargeur USB vous sera probablement nécessaire.

La tablette et … c’est tout.

Coté Matériel (hardware)

La tablette en elle-même est par contre bien équipée :

  • Écran 7 pouces 1280 x 800 IPS, avec filtre polarisant.
  • Deux haut-parleurs certifiés Dolby.
  • Un processeur OMAP 4 double cœur Cortex A9 à 1,2 Ghz.
  • 1 Go de RAM
  • GPU Power VR SGX 540.
  • Wifi N bibande.
  • Caméra frontale pour visioconférence.
  • Sortie mini-HDMI.
  • Système Amazon basé sur Android 4.0
Un dos doux.

Le tout pour un poids de 390 g (dixit ma fidèle balance de cuisine). Pour être honnête, la tablette n’est pas précisément « gracile ». Son épaisseur d’un bon centimètre est loin d’être honteuse, mais si on la compare au 7 mm de l’iPad mini, qui offre du reste une surface beaucoup plus large, elle a un aspect un peu massif. De même, son poids n’est pas si énorme, c’est seulement 50 g de plus que la Nexus 7 après tout. Mais qu’on ne s’y trompe pas, le Kindle Fire n’est pas un Kindle ou un Kobo. Même si la lecture est une des principales vocations de l’appareil, les liseuses à encre électronique pèsent moins de 200 g et peuvent être aisément utilisées d’une seule main. Ce n’est plus vraiment le cas avec le Kindle Fire. Il apporte bien plus de fonctionnalités, mais au prix d’une ergonomie différente. C’est à prendre en considération, si la lecture de livres électroniques est votre usage quasi exclusif de la machine et que le poids a une grande importance pour vous.

La tablette est très sobre, toute de noire vêtue et légèrement arrondie. Son dos, recouvert d’un plastique doux, est agréable au toucher et s’orne d’un discret logo « Kindle » entre les deux hauts parleurs. Rien à signaler sur le côté gauche. Les ports mini-HDMI et USB sont en bas de l’appareil. Sur le côté droit, on a la prise casque, les boutons de mise en veille et de réglage du volume. Ces derniers sont d’ailleurs extrêmement discrets puisqu’ils ne sont absolument pas surélevés. Agréables esthétiquement, leur ergonomie est plus discutable, car il n’est pas évident de les localiser à l’aveugle. Une habitude à prendre sans doute.

La machine n’offre pas de lecteur de carte micro SD. C’est regrettable, il n’est ainsi pas possible de rajouter de l’espace de stockage avec des cartes mémoires externes. C’est le même tarif du côté de la Nexus 7 du reste. Les 16 Go d’espace interne sont néanmoins complémentés par le Cloud d’Amazon ce qui atténue un peu le problème. Néanmoins, si vous comptez stocker des films HD dans votre tablettes, la version 32 Go pourrait être un meilleur choix.

Les seuls boutons sont très (trop) discrets.

En résumé, l’appareil est assez joli, bien fini et semble robuste. Sa configuration matérielle est bonne, sinon impressionnante, et le place à priori dans des gammes de performances analogues à celle d’un iPad 2. Un bon rapport qualité / prix jusqu’ici.

Coté Logiciel (Software)

Allumage

L’interface Amazon

La tablette démarre à froid en une trentaine de secondes. Sa configuration est très simple et rapide. Étant donné que vous commandez l’appareil sur le site Amazon.com, vous y détenez un compte et l’appareil vous est livré directement associé avec ce dernier. Agréable, surtout si vous possédez déjà une médiathèque Amazon, car elle sera alors automatiquement restaurée. Une fois votre réseau Wifi configuré, vous êtes chez vous, dans vos chaussons.

Première constatation : l’écran est excellent. Le contraste est bon, les couleurs vives et la définition excellente. Avec 1280 x 800 pixels sur 7 pouces, on atteint les 216 ppi. C’est loin devant l’iPad mini (163 ppi) et légèrement en dessous du nouvel iPad, qui affiche 264 ppi. En pratique, il est difficile de faire la différence. Comme son nom l’indique, l’écran est la principale valeur ajoutée de la version « HD » du Kindle Fire, mais elle en vaut la peine. L’écart en qualité est ténu par rapport à une Nexus 7, qui affiche la même résolution. Les filtres du Kindle lui permettent de gagner d’une courte tête, mais on rentre dans des considérations d’ordre subjectif.

Amazon fanfaronne sur la qualité de ses hauts parleurs. Et bien quelques chansons plus tard, force est de constater qu’il peut. La qualité sonore atteinte par le Kindle Fire est impressionnante. La stéréo est bien présente, le son est clair et monte assez haut en volume sans distorsion. Il manque de basse (évidemment) et ne remplacera pas une bonne paire d’enceintes. Mais, alors que le son est traditionnellement le parent pauvre sur tablette (haut de gamme compris), Amazon a fait les choses bien et cela mérite d’être souligné. De même, le son au casque est bon, sans aucun souffle ni grésillement.

En outre, l’appareil possède une prise mini-HDMI qui permet d’envoyer directement la vidéo sur votre téléviseur. Une fonction pratique et absente du Nexus 7. En ce qui concerne l’équipement audio-visuel, Amazon ne se moque pas du monde et nous propose, pour 200 €, une offre imbattable, un peu supérieure à celle de Google.

Offre Logiciels

Le magasin Amazon

Jusqu’à présent, tout se passe bien. Le décor est planté, les personnages présentés, mais l’histoire se traîne. Y aura-t-il un coup de théâtre ? Un retournement de situation ? Et bien oui, et c’est maintenant.

Le Kindle Fire HD fonctionne avec un système d’exploitation propriétaire. Techniquement, il s’agit d’Android 4.0 (et pas 4.1, dommage), mais son interface est complètement revue et adaptée par Amazon. Le but est de focaliser l’usage de la machine sur les services Amazon et de structurer le fonctionnement d’Android pour le rendre plus accessible. Après tout, pourquoi pas ? De fait, l’interface est claire et son utilisation est assez limpide.

Elle s’articule autour d’un système d’onglets qui renvoient vers les différentes fonctionnalités de la machine :

Acheter, Jeux, Applications, Livres, Musique, Vidéos, Web, Photos, Docs et « Offre ».

La page d’accueil en elle-même présente sous les onglets un carrousel d’applications ou de contenus, récemment utilisées ou consultés. Il y a également un système de favoris et la barre en haut de l’écran regroupe les notifications, divers réglages, etc. Dans les applications, vous avez aussi  accès à une barre latérale rétractable pour la recherche, les réglages, le retour au carrousel, etc.

Et les gadgets ? Quels gadgets ? Le fond d’écran ? Heuu.. bonne question. Soyons clair : si votre truc, c’est de personnaliser à fond votre appareil, passez votre chemin. Ce que vous gagnez en accessibilité, vous le perdez en liberté et en flexibilité. D’ailleurs, vous n’avez pas accès à Google Play, évidemment. Vous serez cantonné à l’App-Shop d’Amazon. Ce dernier n’est pas aussi vide que, je l’avoue, je le craignais. On retrouve pas mal d’applications Android populaires : Flipboard, Pulse, News Republic, Wikipedia, IMDB, Skype, Citymaps2Go, etc. Quelques jeux : Angry Birds, Asphalt, Rayman et … Minecraft, donc tout va bien.

Enfin bien, c’est vite dit. Google Maps ? Non : Nokia Maps. Youtube ? Chrome ?  Adieu aux applications Google, bien entendu. Si vous avez l’habitude d’utiliser les navigateurs Dolphin ou Firefox, si vous vouliez offrir Photoshop Touch à ce magnifique écran, ou si vous êtes accro à GTA III ou Dead Trigger… tant pis pour vous.

Vous m’avez compris, une certaine frange d’utilisateurs pourrait vite se retrouver à l’étroit sur le Kindle Fire HD et lorgner du côté des vertes et vastes prairies offertes par le Nexus 7.

Étouffante la vie avec le Kindle Fire HD ? Pas forcément. Beaucoup trouveront l’interface confortable et claire. L’intégration poussée avec les services Amazon est un vrai plus pour leurs utilisateurs réguliers. Ils se contenteront sans mal des applications de l’Amazon Shop, seront heureux et auront beaucoup de petits ebooks.

Le côté « cocooning » du Kindle Fire va inévitablement diviser les acheteurs. Certains s’y sentiront comme chez eux quand d’autres pourront développer une certaine claustrophobie numérique.

Performances

Au-delà de l’aspect formel de l’interface, l’impression générale qui ressort d’une utilisation quotidienne du Kindle Fire est celle d’une fluidité correcte, mais pas excellente. On note des saccades occasionnelles qui peuvent devenir assez présentes en cas de multitâche. L’installation en arrière-plan d’une application, par exemple, ralenti notablement la machine.

Amazon Shop oblige, l’offre en logiciels de tests synthétiques est assez limitée. Antutu n’a pas fonctionné et Linpack un peu trop théorique. On se rabattra donc sur des tests en ligne et sur un ressenti général, que vous pourrez partager via le test vidéo ci-dessous.

Web

Silk: not so smooth.

Le navigateur d’Amazon, « Silk », reste pour un moi un mystère complet. Plutôt agréable d’un point de vue ergonomique, ses performances sont plutôt mauvaises.

Les pages se chargent presque deux fois plus vite sous Safari avec un iPad 2 (et donc mini). Pourtant, la machine d’Apple est, elle aussi, équipée d’un processeur Cortex A9 double cœur qui est même cadencé à 200 Mhz de moins. Même si la bande passante mémoire est en faveur de l’iPad, la différence reste surprenante. Le Kindle Fire affiche un score de 1217 sous Browsermark 2, contre 1749 pour un nouvel iPad. Une différence de 43 % qui se ressent aussi dans la lenteur de défilement dont souffre le Kindle.

Pire ! Le navigateur possède une option pour « accélérer » le chargement des pages web. Le principe, proche de celui utilisé par Opera Turbo, est d’effectuer le rendu par les serveurs distants du cloud Amazon et d’envoyer le résultat prémâché à la tablette. Croyez-le ou non, chronomètre à l’appui, activer « l’accélération » ne change strictement rien. De plus, envoyer toutes les données brutes vers Amazon pose de problèmes de confidentialités, soi-disant résolus par une option de chiffrement qui peut ralentir le transfert. On obtient donc une option d’accélération qui ralentit.

Personnellement, je ne saisis pas bien la logique d’Amazon. Pourquoi programmer un navigateur de zéro et mettre en place toute une infrastructure pour au final être plus lent qu’un logiciel local ?? Si seulement Amazon avait tout simplement choisit Opera comme navigateur par défaut, la machine y aurait beaucoup gagné.

Pourtant, son score Sunspider est honorable, avec 1835 ms (contre 1700 pour l’iPad 3). Preuve que le processeur lui-même n’est pas bien loin d’un A5 d’Apple. Le problème provient en grande partie d’un manque d’optimisation logicielle. Un manque de finition qui se ressent non seulement dans la fluidité générale de l’interface, mais aussi dans certaines fonctions spécifiques, comme la vidéo. Au final, on ne peut s’empêcher de penser que la machine aurait été mieux exploitée avec Android 4.1,tout simplement. Voire Android 4.2 comme … la Nexus 7. Cette dernière a par ailleurs un processeur bien plus puissant, un Tegra 3. Google prend ainsi l’avantage du côté des performances.

Audio – Vidéo

Côté musique, la tablette lit nativement le MP3, le AAC et le OGG sans problème. Pas le WMA, dommage pour moi. Côté vidéo, le fonctionnement du Kindle est un peu énigmatique. Ayant chargé des fichiers MP4, AVI et MKV sur la tablette. Seuls les fichiers MKV et MP4 apparaissent dans l’interface et seul le MP4 se lance. Ce qui est étrange, c’est qu’en allant chercher les fichiers avec ES Explorer, le fichier AVI qui ne s’affichait pas se lance pourtant via le lecteur intégré. Ainsi, l’interface n’affiche pas tous les fichiers que la tablette est capable de lire, mais elle en affiche d’autres, incompatibles. Toujours est-il que le fichier de test MP4 en 1080p a bien fonctionné et rend particulièrement bien sur l’écran du Kindle. Cependant, l’application native de lecture vidéo est vraiment… minimaliste. Aucune fonction superflue n’est proposée, pas même la lecture en boucle. Alors pour les sous-titres, les options de zoom ou autres, il faudra aller chercher ailleurs.

L’App-Shop est assez chiche en lecteurs vidéo alternatifs. D’autant que MX Player n’a tout simplement pas fonctionné. On peut se rabattre sur aVia, mais je n’ai toujours pas réussi à lire « Tears of Steel » en mkv… Vu son bel écran et sa sortie HDMI, l’application vidéo gagnerait à être peaufinée sur le Kindle Fire HD.

Livres

S’il y a bien un domaine où tout se passe bien sur le Kindle Fire, c’est bien l’application lecture. Elle regroupe tous vos ouvrages achetés sur Amazon, qu’ils soient présents en local ou dans le cloud. Elle lit, outre le format Kindle (AZW), le TXT, le PDF, le PRC, le MOBI. La lecture est confortable. On peut insérer des signets, des notes, régler la taille des caractères, la couleur du fond, etc. Classique, mais bien exécuté. L’application de lecture est liée à la boutique Amazon. D’une richesse incroyable en langue anglaise, elle devient de plus en plus intéressante en français. Il est à noter que si vous êtes membre Amazon Premium, vous pourrez bénéficier d’une bibliothèque de prêt. Chaque mois, et sans date de retour, vous pourrez télécharger gratuitement un livre parmi une sélection de 4000 titres (en français). Un rapide coup d’œil montre que l’offre est au moins variée… si ce n’est toujours passionnante.

La lecture, le coeur de métier du Kindle ?

Autres applications

Le Kindle Fire HD est livré avec des applications de calendrier, email et contacts synchronisables avec la plupart des sites populaires (Google, AOL, Hotmail, Yahoo). Ce sont des logiciels assez simples, mais fonctionnels pour une utilisation basique. De même, la tablette sait lire une bonne variété de documents, dont les fichiers office et PDF via l’application OfficeSuite. La version fournie ne permet pas l’édition des fichiers, vous devrez acheter la version « pro » pour cela.

Autonomie

En veille, la machine tient une bonne semaine. La lecture d’ebooks ne consomme que peu et les 11h promises par Amazon sont à portée, surtout avec un rétroéclairage modeste. En lecture vidéo, c’est presque 9h que l’on atteint avec rétroéclairage moyen et sans son. Une autonomie très satisfaisante en somme.

Conclusion Amazon Kindle Fire HD

Noté par Tablette-Tactile.net: 4.0 étoiles
****

Nous voici arrivés à l’heure du dénouement, du combat final. La situation est plus ou moins la suivante : vous avez 200 € de trop sur votre compte en banque et vous voulez une tablette 7 pouces. La question est : pourquoi acheter un Kindle Fire HD plutôt qu’une Nexus 7 ? La tablette de Google est plus puissante. Elle a un meilleur processeur et elle bénéficie de l’expérience complète de Google Play et d’Android 4.2. Ce dernier étant un système stable et de mieux en mieux optimisé. En bref, c’est le choix du geek (moi en l’occurrence).

Oui, mais vous êtes un client Amazon régulier, vous lisez beaucoup, vous possédez déjà une petite bibliothèque Kindle ? Vous désirez une tablette polyvalente, mais pas vous prendre la tête avec un système sophistiqué, et parfois un peu trop foisonnant ? La qualité du son est importante pour vous et vous voudriez relier votre tablette à votre TV ? Alors le Kindle Fire HD est un très bon choix.

Les + Les –
  • Superbe écran
  • Excellents hauts parleurs
  • Finition élégante
  • Interface simple et claire
  • L’intégration d’Amazon
  • Globalement très accessible
  • Bonne autonomie
  • Le prix !
  • Tablette très légère
  • Bel écran IPS
  • Écosystème d’application
  • Pas super véloce
  • App – Shop un peu limité
  • Pas d’extension micro-SD
  • Aucune personnalisation
  • Logiciels à optimiser et à étoffer.

 

le 3 3766
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3 commentaires
  1. question : j’ai des livres pdf sur mon pc, je peux les transférer et les lire sur un Kindle ?

  2. Un point important selon moi c’est la disponibilité d’un contenu.

    J’entends par là là tablette est-elle pleinement exploitable chez moi (belgique) ou dans tout les pays où elle est disponible.

    Et force est de constater que chez moi (et sans doutes ailleurs) cette Kindle Fire n’es pas du tout intéressante.

    Bien que l’achat de livres soit possible en Belgique je ne acheter ni vidéo, ni musiques et encore moins d’applications (même celle qui sont gratuites, un comble).

    Le constat est à peu prêt identique chez Google (au moins pour ce qui concerne les livres, les films et la musique).

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