Présentée en début d’année, la phablette OnePlus One a fait un buzz incroyable : équipée avec le meilleur matériel haut de gamme à moins de 300€. Ajoutez à ça CyanogenMod 11S, une version modifiée d’Android 4.4. De belles promesses, mais sont-elles tenues ? Réponse maintenant dans ce test.
Mise à jour : le Oneplus One devient difficile à se procurer. Nous vous recommandons le Oneplus 3 que nous avons testé.
Sommaire
Packaging
Première impression quand j’ouvre mon colis : la boite est fort jolie, aux couleurs blanche et rouge de la marque OnePlus. Deuxième impression quand je tire sur la languette et qu’elle me reste dans les mains : j’espère que le One ne va pas réagir pareil quand je le toucherai ! En dehors de ce petit épisode d’arrachage de languette, le package est vraiment sympa, du moins esthétiquement parlant. Je vous laisse apprécier les photos ci-dessous.
Vous remarquerez que le chargeur est livré à part. La boite ne contient qu’un câble USB rouge et blanc, un poussoir pour retirer la carte SIM (j’y reviendrai après) et la phablette. Pas de notice, pas d’écouteurs, rien d’autre… C’est joli, mais c’est plutôt limité. Remarquez, c’est souvent la même chose chez les concurrents parfois plus cher.
Passons maintenant à l’épisode « carte SIM ». Le One est mono-SIM. La puce trouve sa place du coté gauche de la coque dans un insert en plastique. C’est une bonne idée puisque ça permet de bien caler la carte , même si le téléphone bouge dans tous les sens. Ce qui est plus gênant, c’est la façon d’installer la carte. D’ordinaire, on retire la coque et on place la SIM sous la batterie. Ou alors, on l’enfonce directement dans la coque qu’on recouvre d’un petit cache. Ici, il faudra utiliser un poussoir en métal (fourni dans la boite) qui va s’insérer dans un trou minuscule. N’ayant pas de notice, j’avoue avoir bataillé quelques minutes avant de comprendre le fonctionnement. Première fois que je vois ce système, j’espère aussi que ça sera la dernière ! Ne perdez pas le poussoir, vous seriez bien embêtés pour changer de SIM, même si avec une épingle il y a moyen de s’en sortir.
Voici pour le premier tour du propriétaire. L’ensemble est agréable à l’œil mais il manque quand même un peu de matériel pour être vraiment complet. Mais passons à l’objet de toutes les convoitises : le One.
Design et conception
Tout comme son emballage, le One est visuellement attrayant. Le modèle 64 Go est habillé d’une coque noire (le modèle 16 Go est blanc) au touché granuleux, à mi-chemin entre la texture d’un jean et d’une peau de pèche. C’est assez déroutant au départ, mais finalement on s’y habitue vite. Cette coque est amovible, mais très difficile à enlever. C’est de toute façon inutile, puisque la batterie est inamovible … Le logo de la marque siège sous le capteur photo, incrusté dans la coque. Le terminal dispose de trois microphones, un au dos, un autre sur la tranche haute et le dernier sur la tranche basse. Ces micros permettent d’atténuer les sons ambiants lors des conversations.
Une prise Jack 3.5 mm se trouve sur le dessus de l’appareil, tandis que les haut-parleurs sont situés sur le dessous, encadrant le port micro-USB destiné à la charge et aux transferts de fichiers. En tenant le One à la verticale, ça ne pose pas de problème. Par contre, en mode paysage, la main vient immanquablement recouvrir les dits haut-parleurs, atténuant donc le son. C’est dommage, même si on peut quand même en profiter.
La face avant est quant à elle très classe, la dalle étant surélevée sur une bande de style aluminium du plus bel effet. On retrouve les trois boutons physiques communs aux appareils Android : retour, menu et accueil. J’ai été relativement déçu par leur luminosité, très faible et impossible à régler. En pleine lumière, ils sont complètement invisibles. En haut de la façade, le One dispose d’un APN de 5 MP, d’un capteur de luminosité et de proximité.
Avec un poids de 162 grammes, le terminal se prend bien en main, avec des boutons physiques qui tombent pile au bon endroit, que l’on soit droitier ou gaucher. Mais je vous invite à visionner la vidéo suivante afin de vous faire une meilleure idée.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=l4ceUsXI1u8[/youtube]En conclusion, on en a pour son argent. L’appareil de OnePlus est vraiment convaincant avec un aspect solide et bien construit. Mais en est-il de même pour la partie logicielle, notamment avec CyanogenMod 11S ?
CyanogenMod 11S : paradis de la bidouille… et des bugs ?
L’autre cause du succès médiatique du One, c’est l’utilisation de CyanogenMod 11S en lieu et place du classique Android Stock. C’est avec le Oppo N1 le seul terminal du marché à embarquer nativement cette ROM si célèbre. Que les néophytes se rassurent, les changements par rapport à Android sont mineurs, du moins visuellement parlant. On reste sur une interface avec les bureaux défilants, une barre de dock, une barre de notification, etc… Tous les éléments classiques d’Android sont bien là.
Mais les changements ne tardent pas à apparaître. CyanogenMod 11S propose déjà son propre explorateur de fichiers. Il fonctionne de manière classique, mais il permettra plus d’options aux utilisateurs avec un accès root afin de modifier en profondeur le système. Un avertissement sera d’ailleurs donné à la première ouverture concernant la dangerosité d’un contrôle avancé.
Vient ensuite la galerie de thèmes, une grosse partie de customisation à la CyanogenMod. Téléchargez les thèmes que vous trouverez (gratuitement ou non) sur le Play Store et accommodez votre terminal selon vos goûts : icônes, animations de démarrage, fonds d’écran, polices et même les sonneries. Tout ou presque est modifiable ! C’est réellement impressionnant, on a vraiment l’impression de maîtriser son One dans les moindres détails. Par défaut, deux thèmes sont fournis, mais des dizaines d’autres viendront agrandir votre bibliothèque. Par contre, j’ai parfois eu des plantages avec cette application lors de son ouverture. C’est assez aléatoire et pas forcément gênant, puisqu’il suffit de la relancer pour que tout rentre dans l’ordre. Notez aussi qu’il est préférable de relancer l’appareil après un changement de thème pour éviter quelques bugs d’affichage, comme des polices mal affichées par exemple.
Après la galerie de thèmes, c’est la galerie photo qui a bénéficié de la touche CyanogenMod. Une application plutôt originale qui classera vos photos par « moments » plutôt que par dossiers comme c’est généralement le cas sous Android Stock. Il est tout de fois possible d’avoir un affichage par vignettes simple. En tout cas, cette application est plutôt agréable, si on excepte pas mal de plantages. Ainsi, lors de la première installation de l’appareil, j’ai eu droit à des fermetures forcées à plusieurs reprises. Heureusement, depuis les dernières mises à jour, le problème semble avoir été résolu.
Voyons maintenant l’appareil photo. L’application dédiée est une version CM11S, avec de nombreuses options à disposition. Un simple glissement vers le haut ou le bas vous permettra de changer le mode de capture : automatique, HDR, Clear Image, scène intelligente, sépia, etc… C’est simple et fonctionnel. Les options permettent de changer l’exposition, la mise au point et la qualité entre autre. Comme je le disais plus haut, l’APN fait 13 MP, les clichés sont plutôt jolis. L’appareil de façade est à 5 MP, ce qui est plus que convenable. Ce qui me chiffonne, c’est encore les plantages inopinés de cette application Made in CyanogenMod… Ainsi, en mode HDR, quatre fois sur cinq j’obtiens un plantage. Probablement qu’une prochaine mise à jour viendra régler ça, mais ça peut s’avérer gênant pour les amateurs de photographie. La vidéo est correcte, avec la possibilité de filmer en 4K ou encore en Slow Motion à 120 FPS en 720p ou 60 FPS en 1080p.
Autre application (qui ne m’a jamais planté, soit dit en passant) intéressante : Audio FX. Avec elle, les paramètres audio de votre terminal sont presque tous modifiables et avec simplicité. Un égaliseur avec plusieurs préréglages est proposé, auquel vous pouvez ajouter une amplification des basses et même du son surround. La réverbération dispose aussi de ses paramètres, certes basiques mais déjà suffisants pour une majorité d’utilisateurs. Chaque type de sortie peut recevoir ses propres réglages. C’est simple et fonctionnel.
Voici la liste des applications « modifiées », mais la bidouille ne s’arrête pas là ! L’écran des paramètres rapides a aussi bénéficié d’ajouts en la présence d’options pour les bureaux. Ainsi, en tirant la barre des paramètres vers le haut, vous obtiendrez un écran vous autorisant la modification du nombre d’icônes par bureaux, le type de transition, l’affichage ou non de la barre de recherche Google, etc… C’est assez semblable à ce qu’on retrouve sur les lanceurs alternatifs comme GOLauncher ou Apex. Une bonne idée très bien mise en forme.
Passons maintenant aux paramètres de l’appareil. Ici aussi, c’est le paradis du bidouilleur. Si vous trouvez que’Android est une usine à gaz, alors passez votre chemin. La foule d’options proposée est vraiment impressionnante. Vous n’aimez pas les boutons physiques ? Pas de problèmes, il suffit de passer à la barre tactile (dont les fonctions sont modifiables bien sûr).
Modifiez en quelques clics le contenu de la barre de notification. Vous pouvez même avoir accès à l’appareil photo sans passer par l’application ! Vous voulez avoir la boussole dans votre barre de tâches ? Idem, en quelques appuis c’est fait. Le niveau de personnalisation est réellement impressionnant, même si certaines fonctions peuvent faire « gadget ».
Mais un autre point fort de CM11S réside dans la protection des données. Ainsi, aucune application ne pourra accéder à vos contacts ou votre localisation sans votre accord. Une liste de toutes les applications concernées est disponible afin de gérer chaque appli au cas par cas.
Fin du fin : les réglages du processeur sont eux aussi accessibles ! De base, trois modes sont proposés : économie d’énergie, équilibre ou performances. Chaque mode influe sur la fréquence du processeur et ses gouverneurs. En gros, vous pouvez faire comme sur les terminaux rootés mais sans root. Bien sûr, ce n’est pas sans risque, mais un utilisateur expérimenté pourra jouer sur ces paramètres pour tirer le meilleur parti du One en toutes circonstances.
Voici pour le tour de CyanogenMod, la personnalisation est réellement poussée à l’extrême, c’est vraiment impressionnant. Malgré tout, il reste encore du travail à faire afin de régler les bugs qui restent à droite et à gauche. Mais comme le One bénéficiera des mises à jour pendant deux ans, ça ne peut que s’améliorer, chaque version devrait apporter son lot de nouveauté. Vous l’aurez compris, c’est franchement un essai réussi pour OnePlus. Après, si vous n’aimez pas les options à gogo, le One pourra peut-être vous rebuter. En attendant, la vidéo suivante pourra vous donner une idée des possibilités de cette phablette.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=o1O2QOxaQDc[/youtube]
Performances
Si vous vous demandiez encore pourquoi le One a tant fait parler de lui, lisez donc ses spécifications :
- Ecran 5.5″ IPS Full HD (1920 x 1080 px) avec dalle IPS Gorilla Glass 3 soit 401 ppi
- Processeur quad-core Qualcomm Snapdragon 801 cadencé à 2.5 GHz
- GPU Adreno 330 cadencé à 578 MHz
- 3 Go RAM DDR3
- 16 ou 64 Go mémoire interne (selon le modèle)
- OS CyanogenMod 11S (Android 4.4.4 KitKat)
- APN 5 MP et 13 MP
- Connectique : micro-USB 2.0, bluetooth 4.0, NFC, jack 3.5 mm
- Batterie Li-Po de 3100 mAh
Des spécifications d’appareil haut de gamme, sauf que le One est commercialisé à moins de 300€. Mais est-ce que dans la réalité, ça fonctionne aussi bien que sur le papier ? Oui, sans problème. Voici les résultats des benchmarks, c’est très éloquent. Et si ça ne vous suffit pas, il vous suffit de regarder la vidéo des performances ci-après.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=WpavDXyj204&list=UU4Y6kiqQPq6kwEkj-Lw9uwg[/youtube]
L’ensemble est vraiment fluide, les applications s’ouvrent vite, je n’ai pas eu de ralentissement à constater. Mon seul bémol est la chauffe en situation de longue période de jeu. Avec le mode performance activé, le processeur dépasse 70 °C et ça se ressent : l’appareil chauffe bien du coté de l’APN et la tenue devient assez vite désagréable. Heureusement, le mode équilibré suffit à faire tourner les plus gros jeux du moment comme Asphalt 8 ou Modern Combat sans souffrir de ralentissements. J’ai bien eu quelques légers freezes mais c’était très rare.
Pour la navigation web ou le visionnage de vidéo Full HD, le résultat est le même : c’est rapide et réactif, on se régale. L’écran donne un joli rendu, lumineux et vif. C’est un vrai bonheur d’utiliser au quotidien ce terminal. Le système est stable, je n’ai eu aucun reboot sauvage. Les plantages semblent donc se limiter aux applications de CM11S. Reste à voir si il est possible de profiter de la phablette au moins une journée. J’ai été un peu déçu sur ce point. En situation de sollicitation intense (comprenez : jouer comme un bourrin sans s’arrêter), l’engin m’a tenu 5h37. J’ai ensuite réalisé le test d’autonomie classique : passer en boucle une vidéo Full HD sur MXPlayer, tout en ayant l’écran à 50% de luminosité et le wifi activé. J’ai obtenu 7h39, un score moyen. En utilisant le téléphone à intervalle régulier, c’est à dire quelques vidéos sur Netflix (oui, j’essaye l’abonnement gratuit comme tout le monde), du surf et un peu de jeux vidéo, je tiens une petite journée.
Concernant les connectiques, je n’ai eu aucun problème : le wifi capte très bien la Box située au rez-de-chaussée, sans aucune coupure. Le bluetooth est aussi très bien, tout comme la prise casque qui est fonctionnelle avec un son correct. En revanche, il y a un point important à prendre en compte lors de l’achat : le One ne gère que les fréquences de 1800 et 2600 MHz pour la 4G. La bande des 800 MHz n’est pas captée, ce qui pourra poser quelques problèmes chez certains opérateurs l’utilisant pour leurs antennes. Pour ma part, avec Free je n’ai pas eu de soucis particulier, puisque l’opérateur n’utilise que la fréquence de 2600 MHz.
Voici qui clôt ce chapitre sur les performances du OnePlus One. Pour son prix, c’est clairement une bonne affaire. Il tourne parfaitement bien, il n’y a rien à lui reprocher. Mais alors quels sont ses défauts ? On relèvera l’absence de port micro-SD, mais avec 64 Go de mémoire interne, c’est loin d’être pénalisant. La batterie n’est pas amovible, ce qui est déjà plus gênant. L’obsolescence programmée vient encore de frapper. En dehors de ça, difficile de lui trouver des défauts vraiment disqualifiants. Enfin si, il y en a un : la disponibilité, mais je vais en parler dans le paragraphe suivant.
Prix et concurrence
Le OnePlus One a tout pour lui : puissance, élégance, prix attractif. Oui, mais… Encore faut-il pouvoir se le procurer. En effet, à l’heure actuelle, il faut encore passer par un système d’invitation très contraignant. Une stratégie mise en place par la société chinoise afin de faire face à une très forte demande alors que la production est très faible. Le problème, c’est que ça fait plus de six mois que ça dure et les fans commencent à se lasser. La concurrence est sur le pied de guerre, avec Samsung et le Note 4 ou encore Apple et l’iPhone 6 Plus. Quelles chances reste-t-il au One qui ne sera pas en précommande avant fin octobre ? Tout ça ressemble fort à un coup d’épée dans l’eau pour la société chinoise qui aura fait un beau buzz mais aura aussi perdu de nombreux fans en route, lassés d’attendre encore et encore…
Conclusion OnePlus One
Si on prend l’appareil seul, le OnePlus One jouit d’un incroyable rapport qualité/prix. L’utilisation de CyanogenMod est un vrai régal pour les amateurs de personnalisation, malgré quelques bugs mineurs. Reste la question de la disponibilité. Les pré-commandes ne commenceront qu’en fin octobre, ce qui rendra l’accès au terminal un peu plus simple, mais quand même restreint. Avec la concurrence des grandes marques qui vont sortir leurs fleurons en fin d’année, beaucoup d’acheteurs potentiels lassés d’attendre le One risquent d’aller voir ailleurs. Mais pour ceux qui sauront encore attendre, le jeu peut en valoir la chandelle. En tout cas, le OnePlus One se classe dans notre sélection des meilleures phablettes de 2014.
Les + | Les – |
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Très bon test réalisé par Johan. J’ai appris plein de choses, et ça m’a donné l’envie de m’en acheter un, ce qui a été fait très facilement. A 299 € + 14,99 € de frais de port, c’est une bien belle affaire. J’ai hâte de le recevoir !
test par johan quel crédit ?
« jamais vu un tel système pour carte sim » !!!
juste sur iphone 1, 3, 4, 5, 6 et meme 6 plus. mais bon on peut quand même lui autoriser le droit de tester les téléphones et d’en parler !!!!
Cedsib je comprends vos dire mais comparé ce smartphones à des tablettes point de vue autonomie…. Et lui attribué une note moyenne…. Je comprends pas dsl
@Johan Gautreau
Très bon test et très bon téléphone! mais sur la carte sim, vous avez trop bu et vous êtes tombé dans le coma? comme le dit :@cyril ; ce système pour la carte sim existe depuis bien longtemps… Iphone, Motorola ( G et X) ou les plus anciens aussi ou encore Samsung sur certains téléphones il me semble et j’oublie certainement d’autres marques marques qui l’utilisent aussi…
Autonomie 7h39… Une blague je suis avec le miens dans les mains sur le trajet de retour, journée avec 3h de musique en Bluetooth passage hors couverture fréquent métro oblige donc recherche réseau régulièrement, midi 1h de vidéo, 2h de partage de connexion en WiFi etc.. Résultat 56% de batterie… Le week-end il tiend sans pb le samedi et dimanche.
Batterie inamovible, faut pb qui ce balade avec une batterie de remplacement sur lui ? Encore une excuse d’user de samsung qui change jamais leur batterie.
Je vous invite à regarder la procédure si il vous prend l’envie de la changer, 2min et deux vis cruciforme.
Microsd.. 64gb ça suffit pas ?
Bug de cyanogen, depuis des années sur leur rom tjrs tes stable…
@benbis : l’autonomie de 7h39 est une autonomie calculée selon un test d’autonomie similaire entre toutes les tablettes et phablettes que nous avons eues entre les mains, afin de pouvoir les comparer.
Ca n’est pas du tout une autonomie réelle, mais cela permet de manière relativement fiable que dans un usage similaire, telle tablette est meilleure qu’une autre.
Après, bien sûr, l’autonomie réelle dépend de l’usage de chacun, et celle du OnePlus One est franchement chouette.
ok, je pensais que vous saviez ce que c’était qu’un iphone désolé.
J’ai ce smartphone depuis six mois déjà et c’est un plaisir de l’utiliser. – Quelques bug parfois il est vrai mais avec Samsung Galaxy s3 et s4 j’en ai eut pas mal aussi ! – Pour ce qui est de sa disponibilité il est achetable depuis début juin sur les sites Aliexpress / Lenteen.fr /e.geox/Amazon… Alors dire qu’il n’est pas facile de s’en procurer un est un peu facile… – De plus il est solide, fin, classe, fluide, rapide et le détail de la carte sim à introduire sur le côté n’est pas sans rappeler le système Apple fournissant pour chaque smartphone son » aiguille » pour ouvrir le clapet protéger et intègre sur le côté de la micro sim. – Bref comme vous l’avez dit, un smartphone dont on cherche encore les défauts… Car en somme il n’en n’a pas… Si ce n’est qu’il faut aimer les grands smartphones il est vrai ! — Commentaire envoyé depuis l’application Android Tablette-Tactile à télécharger ici
Il est vrai que le One est vendu sur de nombreux sites, mais son prix est plus élevé et c’est le modèle 16 Go qui est souvent commercialisé. De plus, il est vendu avec ColorOS qui est beaucoup moins personnalisable que CM11S.
Pas forcément : sur les Galaxy Note (le premier) c’était sous la batterie. – Mais c’était le bon temps des batteries amovibles
Le passage sur la carte sim me laisse sans voix. je cite: » Ici, il faudra utiliser un poussoir en métal (fourni dans la boite) qui va s’insérer dans un trou minuscule. N’ayant pas de notice, j’avoue avoir bataillé quelques minutes avant de comprendre le fonctionnement. Première fois que je vois ce système, j’espère aussi que ça sera la dernière ! »
Avez vous vécu dans une grotte ces 7 dernières années?!
Dans une maison tout ce qu’il y a de plus normale ^^ J’ai eu l’occasion de tester pas mal de téléphones durant ces trois dernières années, c’est la première fois que je suis tombé sur ce système, comme je le précise dans le test. Ha si, il y a bien une fois où je suis tombé sur un téléphone chinois dont l’allumage s’effectuait avec un trombone…
Veuillez néanmoins pardonner mon inculture :-)
HTC one (M7) donc début 2013 même système pour la SIM. Sinon très bon test.
Sauf erreur de ma part, c’est aussi ce genre de système sur l’iPhone… bon je dis ça …
Il ya un problème on voit que la première image répété plusieurs
Faux problème pour la 4G, le 800mhz n’apporte pas grand chose de plus en 4G qu’en H+.
j’ai eu 2 iphones (3G et 4) et c’était exactement le même système de tiroir pour installer la carte SIM.
certes il faut utiliser l’outil fourni (ou un trombone) mais au moins une fois la carte en place elle ne bouge plus (et perso, je n’ai jamais besoin de la sortir de son emplacement).
la gamme de fréquences 4G pourrait aussi être un défaut. — Commentaire envoyé depuis l’application Android Tablette-Tactile à télécharger ici