Test de la Dell Latitude 10 sous Windows 8

Dell rentre dans la course aux tablettes Windows 8. Ici, on s’intéresse à l’offre professionnelle du constructeur avec la Latitude 10, une tablette 10 pouces sous Atom Clovertrail. Un PC incognito qui pourrait nous offrir le meilleur des deux mondes. Ou pas.

Mise à jour : la Dell Latitude 10 est obsolète, nous vous conseillons de vous tourner vers la Dell Latitude 11 que nous avons testé.

Pauvre Windows 8. De tous les Windows, c’est peut-être celui qui a la tâche la plus ardue. Depuis plus de 30 ans, les systèmes de Microsoft sont les plus utilisés sur les ordinateurs personnels PC, héritier de l’antique machine d’IBM de 1981. Windows lui-même date de 1985, mais ce n’est que depuis 1995 et la version éponyme qu’il s’est imposé comme le système « standard » des « compatibles PC ». Or, après 20 ans de domination, voilà que la niche écologique de Windows commence à se réduire. Les ventes de PC déclinent, c’est un fait. En magasin, la « tablette tactile » est devenue la reine des rayonnages et Microsoft devait réagir pour ne pas que son système d’exploitation fétiche ne connaisse le destin du gorille ou du panda géant. Windows 8 est la solution proposée par Microsoft pour s’adapter au nouveau marché. Mais ces territoires ne sont pas vierges, d’autres espèces s’y sont déjà confortablement installées. Windows 8 aura non seulement la délicate mission de conquérir une partie du territoire de Google et Apple, mais aussi d’assurer « en douceur » le changement de paradigme entre PC et monde tactile, voire d’en faire une synergie. Pour mettre le plus de chances de son côté, Microsoft propose deux incarnations de Windows 8. La première, Windows RT, est plutôt destinée à la lutte frontale avec les iPad, Galaxy et autres Nexus. Elle est en effet compatible avec le même type de matériel : les processeurs ARM. Elle est en revanche incompatible avec l’écosystème PC traditionnel, elle se destine plutôt à un usage grand public, et « tout tactile ». Elle est autosuffisante, en quelque sorte, et marque une rupture dans le schéma de rétrocompatibilité systématique auquel Microsoft nous avait habitués.

La version de Windows 8 destinée au processeur Intel est heureusement là pour maintenir la continuité de l’écosystème PC, cher à de nombreux utilisateurs (votre serviteur compris). Cette version est cependant bien plus qu’un simple successeur de Windows 7. Elle inaugure une toute nouvelle interface ainsi qu’une toute nouvelle ergonomie tactile, tout en conservant la possibilité de lancer Office 2003 ou ce jeux de 1997 que vous n’avez jamais lâché. Elle proposerai donc le meilleur des deux mondes. Bien sûr, pour que tout cela fonctionne, il faut des machines adaptées, des PC 2.0 en somme. C’est ce que va proposer Microsoft avec sa Surface Pro, et c’est aussi ce que propose Dell avec sa Latitude 10. Je tiens d’ailleurs à remercier Dell pour le prêt de cette machine.

La Dell Latitude 10 de face

Avant d’entrer dans le vif du test, ajoutons à cette (déjà longue) introduction quelques mots à propos du positionnement des machines de Dell. Il propose en effet deux gammes de tablettes sous Windows 8, les XPS 10 et les Latitude 10. Les habitués de la marque le savent, la gamme « Latitude » est destinée aux professionnels et les XPS sont les machines « grand public ». Ces dernières sont proposées à partir de 479 € TTC, alors que les Latitude démarrent à 499 € HT (soit environs 600 € TTC). Ce qui est important ici, c’est que même si ce sont des tablettes 10 pouces sous Windows 8 qui se ressemblent comme deux gouttes d’eau, les XPS et les Latitude sont fondamentalement différentes. Les XPS embarquent des processeurs ARM et Windows RT, alors que les Latitude embarquent des Intel Atom et Windows 8. Dell fait donc le choix de restreindre la compatibilité avec l’écosystème PC à une clientèle professionnelle, ou plus fortunée. Voyons concrètement quelle est la proposition de Dell.

La tablette de dos.

Configuration

La tablette testée est une Dell Latitude 10 équipée de Windows 8 Pro, son tarif est de 691 € HT et de 826 € TTC. Voyons ses caractéristiques :

  • Écran LCD tactile 10 pouces 16 / 9 IPS en 1366 x 768.
  • Processeur Atom Z2760 (Clover trail) double cœur à 1,5 Ghz.
  • 2 Go de RAM DDR3.
  • 64 Go de SSD.
  • Windows 8 Pro (32 bits).
  • Batterie 30 Wh remplaçable.
  • Wifi n / Bluetooth 4.0
  • Un port USB, un lecteur de carte SD, un port mini-HDMI.
  • Caméra dorsale et frontale, capteur de luminosité.

Globalement, avec un Atom, on s’attend à des performances de netbook, et on ne sera pas déçu. La présence de 64 Go de SSD à la place d’un disque dur traditionnel est à la fois une bonne et une mauvaise nouvelle. Si la réactivité générale du système en est largement améliorée, 64 Go c’est bien peu. Avec Windows 8 ce sont seulement 36 Go qui sont effectivement disponibles pour l’utilisateur. Néanmoins, le problème est récurent avec Windows 8, la Surface RT de Microsoft n’y échappant pas.

Le nombre qui fâche…

Packaging

Pas grand-chose à en dire. Peut-être est-ce l’aspect « professionnel » qui ne pousse pas à des sommets en termes d’esthétique, mais l’emballage de cette tablette est … brut : un carton couleur carton, un point c’est tout.

Pas de fioriture dans le packaging.

Aspect extérieur

Sobre, la tablette en elle-même est cependant loin d’être moche. Noire et d’un aspect robuste, malgré sa conception intégralement en plastique, elle est plutôt confortable avec son revêtement dorsal doux au touché. Ce n’est pas la plus compacte des machines 10 pouces, la faute à des rebords d’écran plutôt large, encore plus que ceux d’un iPad. Pourtant, avec 700 g sur la balance, elle n’est pas particulièrement lourde, son poids se situe néanmoins dans la moyenne des tablettes de ce gabarit.

Le dessus de la machine regroupe le microphone, le lecteur SD, le bouton de mise en veille et celui du verrouillage de la rotation de l’écran. On y trouve aussi une LED blanche dont l’utilité m’échappe. Elle s’allume quand on allume la tablette, ce qui est d’une pertinence discutable, et même, occasionnellement, quand celle-ci est en veille. On pourrait croire que c’est un indicateur pour les emails, les tweets ou que sais-je ? Mais pas du tout, d’ailleurs elle s’éteint d’elle-même témoignant sans doute d’une intense vie intérieure.

Sur le côté gauche on trouve le réglage du volume tandis que le côté droit accueille l’unique port USB, le port mini-HDMI et la prise casque. C’est par le bas qu’on recharge la machine, via un l’adaptateur secteur fourni. Le dos de la tablette accueille sans surprise la caméra, pourvue d’un flash, les hauts parleurs et la batterie que l’on peut remplacer à loisir, un bon point.

Les ports USB et mini-HDMI

Metro

Première constatation après l’allumage, le retina display a fait de nous des enfants gâtés. Certes, l’écran est lumineux, les contrastes sont bons et les couleurs vives, mais 1366 x 768 sur 10 pouces, ce n’est plus suffisant en 2013. Surtout à ce niveau de prix, n’oublions pas qu’une Nexus 7 à 200 € affiche une image plus fine, on ne parle même pas des iPad ou des futures Nexus 10. En étant réaliste, il est aussi probable que la puce graphique des Atom ne soit tout simplement pas assez puissante pour assurer une fluidité parfaite à l’interface de Windows 8 en très haute résolution.

Un bel écran qui manque néanmoins de finesse.

Côté système, on est gratifié d’un Windows 8 Pro sans logiciels additionnels. Le côté « Microsoftien » se sent assez rapidement puisque la première chose que va faire votre machine est de se mettre à jour. En une semaine, j’ai eu droit à deux mises à jour importantes requérant un redémarrage et une grosse mise à jour des applications, Windows Media Player compris. Pas de doute, on est sous Windows.

Pourtant, pour ceux qui ne l’auraient pas encore essayé, la nouvelle interface « qui ne s’appelle plus métro » est un sacré changement. Pour résumer, elle ressemble énormément à celle de Windows Phone 7 et 8 et reprend le principe « orienté appli » d’iOS et d’Android. Sauf qu’ici, au lieu d’avoir simplement des icônes, on a des « tiles », des tuiles actives. On peut les disposer librement et elles affichent des informations qui les concernent (météo, info à la une, etc.), un peu comme des widgets. Le tout est très bien adapté à l’usage tactile et offre un look plus moderne et épuré (mais c’est une question de gout) que ses concurrents. Des gestes sur les bords de l’écran permettent aussi d’avoir accès à différents réglages et de basculer d’une application à l’autre. De ce point de vue, la Latitude 10 se comporte très bien. La navigation est fluide et la tablette est réactive.

Les « tuiles actives » de Windows 8.

Pourtant, tout n’est pas complètement idyllique. De petites approximations demeurent ça et là. Le capteur de luminosité par exemple, se comporte étrangement. Le rétro éclairage fluctue occasionnellement sans raison. Pire, pour le réglage de la luminosité dans Windows 8, la valeur minimale est simplement celle de l’écran éteint. Magnifique, mais comment le rallumer ? Aucun bouton ne le permet, la tablette fonctionne tout simplement sans écran, on est ravi pour elle, mais ce bug qui pourrait s’avérer risible est calamiteux. Un redémarrage ne suffit pas à récupérer l’affichage, le seul moyen semble être de rebrancher la tablette au secteur. D’ailleurs, à très faible niveau, le capteur peut aussi poser problème en éteignant anarchiquement le rétro éclairage. Bref, il faut rester à des niveaux élevés pour ne pas avoir de problèmes.

Dans la série des bugs de jeunesse, signalons également des rythmes de décharge variable de la batterie. En témoigne cette petite mésaventure qui n’est pour l’instant arrivée qu’une fois. Alors qu’en soirée il était censé rester deux bons tiers de la batterie, j’ai retrouvé la tablette éteinte et vide au matin. Il m’a aussi semblé que l’autonomie en veille pouvait varier selon les applications ouvertes, certaines peuvent-elles empêcher une entrée en veille complète ?

Un geste sur le rebord droit affiche les applications ouvertes.

Continuons avec les choses qui fâchent, citons les haut-parleurs. Je ne sais pas si c’est mon exemplaire, si c’est un problème logiciel ou matériel, mais le résultat est le même, le son émis par la tablette est proprement catastrophique. Il y a deux hauts parleurs, mais je ne suis même pas sûr que celui de gauche fonctionne. Celui qui reste est faible et grésille quand on monte le volume. Bref, c’est à la limite de l’utilisable.

Moins grave, on constate que certaines applications, dont le Windows Store tout de même, semblent ne pas supporter le mode paysage, curieux.

Boulot

Étonnamment, à la différence de la version grand public Windows RT, qui est systématiquement livrée avec une version d’Office, Windows 8 Pro vous arrive sans suite bureautique. Cette tablette professionnelle est donc livrée sans aucun logiciel de productivité. La bonne nouvelle, c’est que vous avez un PC et que vous avez donc une multitude de logiciels à portée de main. Pour les utiliser, il faudra revenir sur votre bon vieux bureau. Désormais traité comme une simple application (sacrilège ?), le bureau vous offre tout ce qui vous manquait. Vos icônes, votre explorateur, votre barre des tâches. Seul le menu « démarrer » manque à l’appel. La refonte graphique est ici minimale, et tout utilisateur de Windows 7 y retrouvera ses marques. Parfois douloureusement, car si ce dernier n’était pas très bien adapté à un usage tactile, le bureau de Windows 8 ne l’est pas beaucoup plus. Vos gros doigts auront parfois du mal à saisir un icône, une case à cocher ou un item de liste. La précision de la souris vous manquera. Votre clavier aussi. Le clavier tactile de Windows 8 n’est ni mieux ni pire que ceux de la concurrence, tolérable pour un tweet ou un email, mais pas beaucoup plus. Signalons tout de même la présence de série d’un digitaliseur d’écriture manuscrite qui fonctionne bien. Très sympathique pour une prise de note « naturelle », cette option reste tout de même moins rapide qu’un bon clavier physique.

Le bon vieux bureau.

Clavier USB ou Bluetooth, vous avez le choix des armes, tout marche très bien, mais la présence d’un seul port USB vous poussera peut-être vers la seconde possibilité. D’autre part, la tablette n’est pas pourvue d’un support intégré comme la Surface. Si vous voulez utiliser votre tablette comme un netbook, vous devrez ainsi vous procurer un support ou une housse pouvant la faire tenir debout, un couple clavier / souris Bluetooth et éventuellement une copie de Microsoft Office. Voilà qui va encore alourdir une addition déjà assez salée.

Performance / Autonomie

L’autonomie de la tablette est plutôt bonne, elle a tenu 6h30 en lecture vidéo HD avec rétroéclairage au maximum (sans son). Une autonomie d’une petite dizaine d’heures en utilisation plus modeste est envisageable. C’est assez remarquable pour un processeur Intel, mais qu’en est-il des performances ? D’un point de vue synthétique, on s’en est remis à divers benchmarks en ligne et donc multiplateformes : BrowserMark, Sunspider, et le monstrueux Kraken. Ils ont été exécutés sur Internet Explorer 10, Safari et Chrome respectivement.

Latitude 10 iPad 3 Nexus 7 PC (Core i7 1,6Ghz)
Browsermark (en points) 2072 2000 1382 4000
Sunspider (en ms) 711 1518 1727 325
Kraken (en ms) 32895 36459 25170 3700

Par égard pour l’Atom, je n’ai pas lancé de benchmark purement graphique pour tester ses performances 3D. On sait très bien que le PowerVR SGX545 qui l’équipe n’est pas une machine de guerre. Tout au plus pourra-t-on espérer tenir la distance face à un Tegra 3, on est donc à des années lumières d’un « PC de gamer ». D’ailleurs, que conclure de ces différents tests ? Et bien cela dépend de votre point de vue. Pour une tablette, les résultats sont corrects, et même excellents pour Sunspider. La Latitude 10 se place globalement entre un iPad 3 et un iPad 4 et dépasse une Nexus 7. Donc pour une utilisation « tablette » (à l’exclusion de toute charge 3D importante), la machine offrira un confort d’utilisation équivalent à l’une de ces machines.

Si par contre on considère la Latitude 10 comme un PC, le tableau se révèle moins flatteur. À processeur de netbook, performances de netbook, soit entre deux et dix fois moins importantes qu’avec un processeur Core. En l’occurrence, il s’agit ici d’un Core i7 de première génération cadencé à une fréquence nominale proche de celle de l’Atom. Si les performances javascript sunspider de la Latitude sont étonnamment bonnes, le test Kraken, beaucoup plus large et complexe enfonce le Z2760. De fait, dès qu’on sort de l’environnement tactile pour lancer des applications Windows classiques via le bureau, les choses deviennent un peu moins fluide. La machine a même réussi à saccader pendant le jeu « Jamestown » qui est un jeu de tir en … 2D.

Il est vrai qu’un Core i7 consomme largement plus que l’Atom Z2760, mais on ne peut s’empêcher de penser (encore une fois) qu’au tarif proposé, un processeur Ivy bridge aurait été largement plus indiqué.

Pour voir la bête en action, je vous invite a visionner la vidéo ci-dessous. C’est un test « en live », avec tous les aléas du direct en différé. J’ai laissé le tout pour ne rien enlever à « l’authenticité » de l’expérience. Je vous rassure, la mise à jour que j’avais imprudemment lancé cinq minutes avant de filmer le test, et qui m’inquiète tant, s’est parfaitement terminée… 10 min après la fin de la vidéo.

[youtube 0lksRkMeBqw]

Conclusion Dell Latitude 10

Noté par Tablette-Tactile.net: 2.5 étoiles (note provisoire)
****1/2

Je pourrais tout simplement conclure ainsi : « à performance de netbook, prix de netbook ». Car quelle est le positionnement de cette Latitude 10 ? Ses performances sont modestes, son espace de stockage est rikiki, le logiciel a quelques bugs, l’écran n’est pas merveilleux et le son est à hurler. Ce sont des travers qu’on retrouve chez des netbooks, qui trouvent pourtant preneurs s’ils sont proposés à des tarifs adaptés. Ici, on a en plus une tablette tactile avec tout le confort d’utilisation que cela suppose. Avoir une tablette pour la maison et une totale compatibilité avec tous les logiciels PC si besoin, voilà qui pourrait être séduisant. Si cette machine avait été proposée au prix d’un bon netbook, ou même à la rigueur d’un iPad, l’offre aurait peut-être mérité réflexion. Mais ici, le prix de la « synergie Windows 8 » est de 826 € TTC. C’est à peu près la somme du prix d’une excellente tablette et d’un très bon netbook qui, chacun de leur côté, sont meilleurs que cette Latitude.

Pire, la Surface Pro de Microsoft sortira prochainement au prix de 900$ soit environ 663 €. Pour moins cher que la tablette de Dell, Microsoft offrira une tablette de qualité avec un pied intégré et une coque en magnésium, un écran full HD, un processeur Core i5 et 4 Go de RAM. Le choix est vite fait.

Quant à l’orientation « professionnelle » de la Latitude 10, elle m’interroge. Je ne vois pas un professionnel utiliser cette machine sans rajouter un couple clavier / souris bluetooth, une housse / support et une suite bureautique. Voilà qui portera facilement le prix de la machine aux alentour des 1000 € TTC, le prix d’un bon ultrabook. Or, que regretter de la Latitude 10 quand on peut avoir un Toshiba Satellite ou un Zenbook d’Asus ? C’est vraiment dommage, la note ci-dessous n’est pas très flatteuse, alors que le matériel en lui même n’est pas si mauvais. Elle doit néanmoins tenir compte du rapport performance / prix et du relatif manque de finition logiciel.

Les plus Les moins
  • Pas moche.
  • Réactive en mode tactile.
  • Connectique assez étendue (Bluetooth 4, USB, SD, HDMI).
  • Bonne autonomie.
  • Un vrai PC.
  • Trop cher pour la configuration proposée.
  • Écran manquant de finesse.
  • Haut parleurs catastrophiques.
  • Des bugs.
  • 36 Go de SSD disponibles, c’est peu.
  • Processeur et GPU corrects pour une tablette mais assez lents pour un PC.

 

7 réflexions au sujet de “Test de la Dell Latitude 10 sous Windows 8”

  1. slt, svp si qlq1 peut m’aidé a reprogrammer ma tablette st2 donc au niveau du 2em étapes d’instal du système sa demande d’installer le lecteur Windows media

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  2. j’ai acheté une latitude st aussi il y a un mois. la tablette des pros?… le stylet marche mal le tactile il faut s’acharner dessus… regarder une vidéo sans bug relève de la prouesse. franchement déçue!

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  3. Pablo, votre Latitude ST doit être mal configurée, il faut faire un tour sur les forum qui en parlent, car bien réglée, elle n’est certes pas fulgurante mais largement utilisable. La reconnaissance de l’écriture marche parfaitement, elle réagit bien aussi au tactile et le stylet est très bien à mes yeux.
    25 minutes pour rajouter une ligne dans un powerpoint !
    Passez en affichage windows classique, désactivez tout ce qui bouffe du processeur pour rien et ça devient tout à fait correct.

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  4. J’ai acheté une tablette DELL Latitude ST en septembre 2012. J’espérais m’en servir pour aller sur internet, gérer ma messagerie, modifier des documents word et des power point. Echec complet. Le stylet marche une fois sur deux, il y a une sorte de période réfractaire de l’écran tactile après chaque modif, elle est extrèmement lente, la reconnaissance de l’écriture est catastrophique. Dans le train, la semaine dernière, j’ai mis 25 minute pour ajouter une ligne à une présentation de power point. Désespérant! ET LE SERVICE après vente de DELL m’a simplement avoué « qu’elle manque de performances », m’invitant à acheter une 10… Genre « vous avez acheté un mauvais produit, nous en sommes désolés »… remettez de l’argent on va vous avoir à nouveau. j’en suis franchement déçu

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  5. Vous ne parlez pas de l’utilisation du stylet actif qui à mon avis est le principal atout de ces tablettes. J’ai une Latitude ST et le stylet a changé ma vie ! Le tactile avec les doigts c’est pour les gens qui glandent dans leur canapé, par pour les gens qui bossent !
    Mais vu les retours que j’ai, les constructeurs commencent à comprendre ça…

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  6. test cohérent mais méfiance sur la conversion du prix de la surface pro : 900 $ ne font pas toujours 663 €

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    • Je suis peut-être un peu optimiste, mais je comptais de toute façon 663 € HT, je m’attend à une Surface Pro aux alentours des 1000€ – 1100 € TTC par chez nous. On verra bien…

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