Test de l’Asus MeMO Pad FHD 10

Entre 2012 et 2013, Asus a un peu pataugé au niveau des tablettes 10,1 pouces. En tout, on a pu voir une Transformer Pad TF300, une Transformer Pad TF700, une MeMO Pad Smart 10, et aujourd’hui une MeMO Pad FHD 10.

Test de l’iPad Air : la fusion de l’iPad Retina et de l’iPad mini

Présenté mi-octobre et disponible depuis le 1er novembre, l’iPad Air est déjà la cinquième version de la tablette phare d’Apple. Reprenant le design de l’iPad mini et la force de l’iPad Retina, cet iPad Air se présente comme l’une des tablettes les plus séduisantes de cette fin d’année. Mais qu’en est-il vraiment ?

Test de la Nexus 7 2013

Un an après la commercialisation de la Nexus 7, qui a rencontré un grand succès, Google renouvelle sa tablette et lui donne un coup de fouet, tant sur son design que sur ses performances.

Test de la Galaxy Tab 3 10 pouces de Samsung

Après une version 7 pouces qui nous avait laissé un avis un peu mitigé, c’est au tour de la version 10 pouces de la Galaxy Tab3 de passer sur le grill. Espérons qu’elle soit plus convaincante que sa petite sœur. Nous testerons ici la version 16 Go tarifée à 379€, une version 32 Go sera également disponible début aout. Positionnée en milieu de gamme, face à une Nexus 10 ou une Iconia Tab A700, par exemple, cette tablette devra lutter pour se faire une place. Constitue-t-elle une offre crédible ? C’est ce que nous allons voir.

Test de la Galaxy Tab 3 version 7 pouces de Samsung

Test de la Galaxy Tab 3 version 7 pouces de Samsung

Au fil des années, Samsung a su s’imposer comme un concurrent majeur d’Apple sur le marché de la téléphonie. Le mastodonte coréen dispose également d’un choix assez large de tablettes tactiles de toutes tailles, à tous les prix. On va s’intéresser ici à l’entrée de gamme de la ligne Galaxy avec la version 7 pouces de la nouvelle Gataxy Tab. Enfin « nouvelle », c’est beaucoup dire, parce que finalement, cette troisième itération n’apporte pas grand-chose de neuf.

Test des ToughPad FZ-A1 et JT-B1 de Panasonic

La firme Japonaise Panasonic est un grand nom de l’électronique grand public, à l’origine de nombreuses innovations notamment dans les téléviseurs avec la gamme Viera. Aujourd’hui voici le test de deux tablettes appartenant à la gamme TOUGHPAD de Panasonic à destination des professionnels.

Test de la Samsung Galaxy Note 8.0

La gamme Galaxy Note de Samsung s’agrandit avec une nouvelle venue, une version dotée d’un écran de 8 pouces.

Le Galaxy Note premier du nom était la première phablet, sortie en 2011. Ce smartphone au super écran de 5,3 pouces et au stylet tactile avait rencontré un grand succès. L’année 2012 a vu émerger son successeur, le Galaxy Note 2 et une première tablette, la Galaxy Note 10.1.

Cette année 2013, Samsung veut se frotter à Apple et sa tablette de 7.9 pouces, l’iPad Mini, avec une version de 8 pouces de sa gamme Note, la Galaxy Note 8.0.

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Design

Visuellement, la Galaxy Note 8.0 ressemble à un gros Galaxy Note 2 (ou un Galaxy S3/S4). On retrouve le même agencement des boutons, des capteurs et appareils photos, le même genre de courbe et de coins arrondis, etc…

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Il se peut d’ailleurs que ce design inspiré de la Nature (selon Samsung) ne plaise pas à tout le monde, mais au moins il y a une unité claire entre tout ces modèles.

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La face avant se compose donc d’un écran de 8 pouces “seulement” HD et non FullHD comme on l’aurait espéré. Dans les faits, c’est un bel écran, mais il aurait pu simplement être meilleur et préparer le terrain pour l’arrivée de la nouvelle génération de tablette (Nexus 7 ² et iPad Mini 2).

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Sous l’écran, on retrouve trois boutons physiques (dont deux boutons sensitifs) : Home, Menu et Retour. Ils correspondent aux boutons d’Android.

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L’arrière comporte l’appareil photo de 5 mégapixels.

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La tranche basse accueille les deux hauts-parleurs et le port microUSB, mais aussi le slot où se cache le S-Pen.

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Sur la tranche droite, on retrouve les bouton Marche/Arrêt et Volume+/- et le port infrarouge.

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La tranche haute n’accueille que le port audio.

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Globalement, la tablette tient bien en main, son design n’est pas des plus déplaisant (oui ça sonne assez négatif, je l’avoue), mais ses matériaux manquent d »un peu de noblesse comparée à sa concurrente directe. La tranche couleur aluminium n’est que du plastique là où on aurait pu avoir du vrai métal et le plastique glossy n’épargne pas les traces de doigts.

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Quant au S-Spen, il reste inchangé et tient toujours bien en main, ça c’est plaisant ! Pour ceux qui ne seraient pas familiers avec le S-Pen, il s’agit d’un stylet construit en partenariat avec Wacom, capable de reconnaître jusqu’à 1024 points de pression différents (d’un appui léger à un appui fort).

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Au coeur de la Samsung Galaxy Note 8.0:

  • Ecran TFT LCD de 8.0 pouces – résolution 1280 x 800 pixels (densité de 189 ppi)
  • Processeur quadricoeurs Samsung Exynos 4412 cadencé à 1,6 Ghz
  • Processeur graphique Mali 400MP4
  • 2 Go de RAM
  • 16 ou 32 Go de stockage interne (extensible via microSD)
  • Batterie de 4600 mAh
  • 2 capteurs photos : 1.9 MP à l’avant et 5 MP à l’arrière
  • Connectique sans fil : Bluetooth 4.0, Wifi a/b/g/n, DLNA, Wifi Direct, port infrarouge (IR) – (il existe une version 3G/4G+Wifi)
  • Ports : jack 3.5mm, microUSB, lecteur de carte microSD
  • Senseurs de mouvements : gyroscope, accéléromètre, boussole
  • Autres : puce A-GPS pour la géolocalisation, capteur de proximité et capteur de luminosité
  • 210.8 x 135.9 x 7.95mm , 338g

Interface & Ergonomie

La Galaxy Note 8.0 est livrée avec Android 4.1 Jelly Bean et la surcouche du constructeur coréen TouchWizz.

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On retrouve exactement les mêmes applications et fonctionnalités que sur les deux autres appareils de la gamme Galaxy Note, ce qui comprend :

  • les Hubs (Game, Music, Vidéo) avec leurs widgets associés en plus de ceux plus basiques (météo, S-Suggest, Game hub, Music Hub…).
  • le lancement d’applications à partir de l’écran de déverrouillage :

Samsung Galaxy Note 8.0 - Ecran de déverrouillage

  • le lancement d’application à partir de la barre latérale :

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  • le multi-écran permet d’afficher deux applications en même temps. Samsung a intégré encore plus d’applications compatibles : lecteur vidéo, navigateur internet, Polaris Office, S-Note, Galerie, et le client E-Mail (plus Gmail), Hangouts…
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Ici, nous avons le navigateur à gauche, et le lecteur vidéo à droite
  • le Picture In Picture (PIP) qui permet de lire une vidéo et de l’afficher au dessus de toutes les autres applications. On peut donc regarder une vidéo tout en répondant à un email ou à un tweet sans forcément être obligé d’arrêter ladite vidéo.

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Détection des yeux

Une nouvelle fonction fait son entrée sur cette Galaxy Note 8.0. Il s’agit de la détection du regard : à l’aide de la caméra avant, la tablette éteindra l’écran lorsque vous ne la regarderez plus. C’est une fonction qui est apparue sur le Galaxy S3, le smartphone de la marque, l’an dernier. Fait intéressant, Samsung a optimisé cette fonction pour qu’elle ne consomme que très peu de batterie. mais dans les faits, il faut bien avouer que c’est assez inutile…

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Les pages contextuelles

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Ce n’est pas une nouveauté à proprement parler. Disons que c’est plutôt une nouvelle définition pour une fonction qui était déjà active en demi teinte. L’intérêt de ces pages contextuelles est de proposer le lancement d’une application lorsque vous effectuez une action.

Concrètement :

  • Quand vous retirez le S-Pen de son emplacement, la page avec le widget S-Note s’affiche.
  • Quand vous branchez vos écouteurs, c’est une page avec un widget de lecteur de musique ou vidéo qui s’affiche.
  • Quand vous connectez votre tablette à une prise USB (sur secteur ou sur un ordinateur), la page dédiée s’affiche aussi.

En bref, ce sont des actions intelligentes qui sont déclenchées lorsque vous même vous interagissez avec votre tablette.

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Le page-Widget du S-Note qui s’affiche lorsque vous retirez le S-Pen de son emplacement

Les commandes rapides

Vous pouvez créer et utiliser des schémas rapides qui deviendront des commandes comprises par la tablette.

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Avec le stylet, il suffit de former un de ces schémas (prédéfinis ou ceux que vous avez créé) où que vous soyez (dans n’importe quelle application, ou sur l’écran d’accueil) et cela activera la commande dédiée. Par exemple, dessinez un « @ » et ajoutez-y une adresse mail comme « [email protected] », et l’application Mail se lancera avec l’adresse du contact déjà remplie. Votre schéma se dessinera comme tel : « @[email protected] ».

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Un autre exemple : vous voulez faire une recherche sur la cathédrale de Chartres, il vous suffit de faire ce schéma : « !Chartres » ; et Google Maps se lancera avec votre recherche déjà remplie.

Mode Blocage : restez en toute intimité

C’est simplement un mode qui bloquera les notifications et quelques fonctions que vous aurez sélectionnées. Vous recevrez toujours vos mails, vos tweets, vos notifications Facebook, mais la tablette ne vous en notifiera pas par un son.

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Mode d’écran d’accueil : basique ou facile ?

Samsung prend en compte toud les types de personnes : que vous soyez un utilisateur avancé ou un débutant complet, la Galaxy Note 8.0 s’adaptera à vous (ou en tout cas tentera) en proposant deux types d’écrans d’accueil.

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Vous l’aurez compris la différence entre ces deux modes vient de la simplification de l’interface utilisateur. Dans l’un, vous avez ce que vous connaissez habituellement, et dans l’autre tout est remplacé par des widgets aux icônes gigantesques. Je ne suis pas contre une telle liberté entre ces deux types d’interfaces; je trouve même cela plutôt intelligent de la part de Samsung. Cependant, il faut avouer que l’interface « facile » manque de soin apporté au design des éléments (ce ne sont simplement que de grosses icônes dans des widgets).

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Le fameux mode « facile »

S-Voice

Samsung n’en fait plus la publicité mais l’assistant vocal du constructeur coréen équipe toujours ses smartphones et certaines tablettes dont cette Note 8.0. S-Voice est donc la réponse de Samsung au Siri d’Apple, sauf qu’en français, S-Voice est proche de l’inutilisable. L’interface est hideuse (faut bien le dire ça!) et vous devez vous y reprendre à plusieurs fois pour vous faire comprendre de cet assistant analphabète.

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Le bon et le moins bon… 

Utilisation

Les applications

La suite logicielle basique de Samsung comprend :

  • Les Hubs : Vidéo, Music, Games et Readers habituels. Désormais, on peut aussi compter le hub Learning (apprentissage) qui est assez maigre dans notre langue maternelle.

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Video Hub

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Games hub

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Le petit nouveau : le Learning  Hub

  • le Samsung App : le marché d’applications de Samsung (c’est une sélection d’application issues du Play Store).

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  • Éditeur de photos et Editeur de vidéo : deux éditeurs multimédias vous permettant de retoucher les photos et vidéos prises par votre tablette.
  • Mes fichiers : naviguer à travers le stockage de votre tablette et de votre carte microSD.
  • S-Note : l’application de prise de note et de dessin qui vous permettra d’utiliser votre S-Pen à 100%.

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  • Paper Artist : mettez votre talent artistique et votre maîtrise du stylet au travail avec cette application très bien faite. Il existe plus d’une vingtaine d’effet et l’ergonomie est plutôt bonne. C’est une sorte de mélange entre Photoshop et Paint pour enfant.

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  • Polaris Office : une suite bureautique qui renforce l’attrait professionnel de la Galaxy Note (et Galaxy Tab). Elle servira sûrement plus à ouvrir des documents qu’à en éditer, en l’absence d’un clavier connecté.
  • Peel (télécommande) : Cette application vous permettra de commander via infrarouge votre TV, chaîne Hifi, lecteur DVD, et j’en passe.

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Deux nouvelles applications font aussi leur entrée sur la Note 8.0 :

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  • Group Play : c’est une application compatible uniquement avec les appareils Samsung. Elle permet à une personne de diffuser ce qu’elle voit sur son écran, à d’autres appareils Samsung.

Concrètement en une situation :

Vous rentrez de vacances des Îles Ouragans-Ensoleillés, et tout le monde au bureau vous demande comment c’était. Si vos collègues possèdent une tablette ou un smartphone Samsung, vous pourrez diffuser les photos de voyage qui défileront sur votre écran, directement sur l’écran de vos collègues.

Ce n’est donc pas un simple partage de contenu mais plus une sorte de partage d’écran.

  • Samsung Link : il s’agit d’une application qui remplace AllShare DLNA. C’est donc toujours un mélange entre un lecteur et diffuseur de contenu multimédia via le standard DLNA (UPnP aussi) et une application de cloud.

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Les fonctionnalités et options liées au stylet S-Pen

Le S-Pen étant une spécificité de la gamme Note (Note, Note 2, Note 10.1), il apporte aussi des fonctionnalités.

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Premièrement, le S-Pen dispose d’un onglet dans les paramètres, cela permet de configurer certaines options autour de ce stylet. Via ce menu, vous pouvez assigner un son lorsque vous retirez le S-Pen de son emplacement, vous pouvez aussi afficher un pointeur (comme une souris de PC), et vous pouvez enfin configurer une action lorsque vous sortez le S-Pen : afficher un dock de raccourcis d’applications, ou lancer une application en particulier.

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La découpe et l’édition de photo ou de capture d’écran est toujours possible et toujours aussi appréciée.

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SlidePad NG 808 de Memup

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Test de la T970 de JMI Tech

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Test de la tablette Smart’ TAB 8001 de Boulanger

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Test de la tablette tactile MPMAN MP959

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Test de la Onda vi40 Elite – une tablette low-cost de 9.7 pouces (MàJ)

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Test de la Samsung Galaxy Tab 7.0 Plus (P6200) – une bonne tablette en format 7 pouces !

Samsung continue d’abreuver le marché avec ses tablettes. Cette fois-ci, nous avons en test la Samsung Galaxy Tab 7.0 Plus (P6200).

Mise à jour : la Galaxy Tab 7.0 Plus n’est plus commercialisée, mais nous avons fait un test de la Galaxy Tab S2 qui est très performante.

La mise à jour de la première tablette de Samsung sur Android, vient d’arriver, et elle “sent” bon ! Souvenez vous de cette tablette, la Galaxy Tab (P1000) qui avait envahi les publicités de l’opérateur Orange, et les stores de SFR. La première tablette conçu par Samsung pour nous vendre de la mobilité à tout va.

Samsung Galaxy Tab (P1000)

Il y a une volonté, chez Samsung, de noyer le consommateur sous une bonne dizaine de références produit. Il existe 2 références en format de 7 pouces : la Galaxy Tab (P1000), et la Galaxy Tab 7.0 Plus (P6200 et P6210 pour la version 3G).

Vous trouverez aussi 3 autres tablettes en 3 formats différents :

  • une Galaxy Tab 7.7 (P6810 et P6800 pour sa version 3G),
  • une Galaxy Tab 8.9 (P7310 et 7300 pour sa version 3G),
  • une Galaxy Tab 10.1 (P7510 et P7500 pour sa version 3G)

Et à cela, il faudra rajouter trois nouvelles versions :

  • une Galaxy Tab 7.0 2 (P3110 et P3100 pour la 3G) qui est une autre mise à jour matérielle de la première tablette de 7 pouces (P1000)
  • une Galaxy Tab 10.1 2 (P5110 et P5100) qui est une mise à jour matérielle de la P7500/P7510
  • une Galaxy Note 10.1 (N8010 et N8000)

Aujourd’hui, le géant coréen vient d’introduire sa Galaxy Tab 7.0 Plus (P6200) sur notre vieux continent. Et je vais vour réveler pourquoi, selon moi, il vaut mieux se tourner vers cette Galaxy Tab 7.0 Plus (P6200) que vers la Galaxy Tab 7.0  2 (P3100).

Nous remercions notre partenaire LDLC pour le prêt de la Samsung Galaxy Tab 7.0 Plus (P6200), que vous trouverez au prix de 454,96€. N’hésitez pas à aller visiter leur catalogue.

 

Design & Cœur de l’appareil

Pour ceux qui avaient aimé le design de la Galaxy Tab 7.7 avec son dos en aluminium des plus classieux…. c’est dommage, mais Samsung est retourné à ses premiers amours : le plastique. Le même que l’on trouvait sur les Galaxy Tab 8.9 et 10.1.

Au dos, on retrouve donc ce plastique caractéristique, et un capteur photo/vidéo arrière de 3.2 MP soutenu par un flash LED.

On aperçoit aussi la trappe pour l’accès au lecteur de carte microSD.

De face, son écran LCD de 7 pouces en résolution de 1024 x 600. On regrette encore le choix de Samsung, pourquoi ne pas intégrer un écran S-AMOLED ou S-AMOLED Plus à sa petite tablette, au lieu de ne le réserver qu’à son format de 7.7 pouces ?

En position paysage, vous trouverez un écouteur à gauche de l’écran, ainsi que le capteur photo/vidéo avant de 2 MP, le capteur de proximité et le capteur de luminosité.

Sur le haut de la tablette, Samsung a disposé ses deux seuls boutons physiques : Marche/Arrêt et Volume +/ Volume -.

La tranche gauche dispose du port Jack 3.5 mm et d’un micro.

La tranche droite dispose de deux hauts-parleurs, d’un micro aussi, et du port propriétaire de Samsung. Ce dernier sert au transfert de fichier et au rechargement. A ce propos, Samsung a généreusement offert un adaptateur USB. Il vous permettra de connecter votre tablette à une clé USB, une imprimante ou un appareil photo.

Malgré l’utilisation de plastique, la tablette semble solide. Elle demeure légère avec ses 345g et fine avec ses 9.9mm.

Au coeur de la Samsung Galaxy Tab 7.0 Plus :

  • Ecran LCD PLS de 7 pouces – résolution 1024 x 600 (densité de 170 ppi)
  • Processeur double coeur Samsung Exynos 4210 cadencé à 1.2 Ghz
  • Processeur graphique Mali-400MP
  • 1 Go de RAM
  • 16 Go ou 32 Go de stockage interne (extensible via microSD)
  • Batterie de 4000 mAh
  • 2 capteurs photos : 2 MP à l’avant et 3.2 MP à l’arrière
  • Connectique sans fil : Bluetooth 3.0, Wifi a/b/g/n, DLNA, WiDi
  • Ports : jack 3.5, propriétaire Samsung, microSD
  • Senseurs de mouvements : gyroscope, accéléromètre, boussole
  • Autres : puce A-GPS pour la géolocalisation et capteur de proximité

Le matériel utilisé par Samsung pour construire sa tablette P6200/P6210 est la raison pour laquelle vous devriez la préférer à la Galaxy Tab 7.0 2 (P3100/P3110). Alors que la P6200 est construite autour d’un processeur Exynos (le processeur de Samsung), la P3100 est construite avec un processeur Texas Instrument Omap 4430. Ce dernier est simplement bien moins puissant que le processeur de Samsung.

 

Interface & Ergonomie

Par contre sur le plan de la version du système d’exploitation choisie, on est déçu, on s’explique : tous les constructeurs qui s’appuient sur Android comme OS mobile, ont la mauvaise habitude de mettre du temps pour mettre à jour leurs produits, ou carrément dans certains cas de ne pas les mettre du tout à jour. Samsung fait partie de la première catégorie. Le constructeur coréen est plutôt lent à la détente comme on dit.

Ainsi, la Galaxy Tab 7.0 Plus dispose d’Android 3.2 Honeycomb et de la surcouche, bien connue, du constructeur TouchWizz 4.0.

De plus, une stratégie marketing bien connu va freiner l’adoption d’Android 4.0 Ice Cream Sandwich par cette petite tablette. En effet, Samsung va sûrement vendre sa Galaxy Tab 7.0 2 avec comme argument que cette tablette dispose de la dernière version d’Android, Ice Cream Sandwich (ICS).

Cependant, une fois que vous avez dépassé cette petite déception, la tablette avec Honeycomb et TouchWizz se comporte très bien. C’est du déjà vu. Vous aurez donc la même expérience utilisateur que lorsque vous utilisez une Galaxy Tab 7.7. Je vous redirige donc vers notre test précédent qui vous éclairera sur la fonctionnalité de TouchWizz et d’Android 3.2 Honeycomb.

 

Utilisation

Idem pour l’utilisation de la tablette, je vous renvoie à notre test de la Galaxy Tab 7.7 et à celui de la Galaxy Tab 8.9. On y retrouve les mêmes logiciels :

  • les fameux Hubs : Vidéo, Kids, Music, Reader, Social
  • le Samsung App
  • Mémo et Mémo croquis
  • Ebook
  • Éditeur de photos
  • Allshare / Appareils connectés
  • Mes fichiers
  • Gestionnaire des taches
  • les widgets spécifiques à TouchWizz
  • et la barre d’accès rapide : gestionnaire des tâches. Calendrier, horloge mondiale, mémo croquis, calculatrice, lecteur MP3.

Sans oublier que le format de 7 pouces rend la tablette ultra mobile.

 

Appareil photo / vidéo

En photo et en vidéo, nous le savons bien, ce n’est pas la taille qui compte. Et la P6200 avec son petit capteur de 3.2 MP fait des photos et des vidéos (720p) aussi bonnes que les capteurs de 5 MP de certaines tablettes… Aussi, garder en tête qu’il est plus simple de prendre une photo ou une vidéo avec une tablette de 7 pouces qu’avec une tablette de 10.1 pouces.

Enfin, le capteur avant de 2 MP possède une qualité honorable. Les photos sont certes moins nettes, mais elles sont plus lumineuses que l’APN arrière, et bien plus lumineuse que le capteur avant de la Toshiba, et de l’Archos aussi.

 

Performances & Autonomie

 

Performances

Décidément, l’Exynos tient encore la dragée haute des processeurs mobiles en cette deuxième année d’existence. Pour rappel, l’Exynos 4210 est apparu en premier sur le Galaxy S2 en Avril 2011. Il est bien meilleur que le TI Omap 4430 qui équipe la Galaxy Tab 7.0 2 et qui équipait aussi la Motorola Xoom 2 Média Édition et la Toshiba AT200.

 

Samsung Galaxy Tab 7.0 Plus (P6200) Samsung Galaxy Tab 7.7 (P6800) Samsung Galaxy Tab 8.9 (P7300) Archos 80 G9 Motorola Xoom 2 Media Edition Viewsonic ViewPad 7x
OS de test Android 3.2 Honeycomb Android 3.2 Honeycomb Android 3.1 Honeycomb Android 3.2 Honeycomb Android 3.2 Honeycomb Android 3.2 Honeycomb
Antutu 6313 points 6819 points 4979 points 5092 points 4926 points 5455 points
Linpack Single Thread 47,31 mflops 54,16 mflops x 29,53 mflops 37,72 mflops
Linpack Multi thread 76,32 mflops 87,03 mflops 42 mflops 42 mflops 53,75 mflops 62,71 mflops
Quadrant 3231 points 3784 points 2260 points 1758 points 2282 points 1758 points
Nenamark 2 49,3 fps 41,9 fps 18,7 fps 23,5 fps 19,3 fps 26,8 fps
Smartbench 2011 – productivité 4192 points 3646 points 3440 points 2653 points 2843 points
Smartbench 2011 – jeux 2931 points 3063 points 2900 points 3054 points 2383 points
Smartbench 2012 – productivité 2628 points x x
Smartbench 2012 – jeux 1786 points x x

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Test de la Toshiba AT200 – une tablette de transition entre le Tegra 2 et le Tegra 3

D’abord connue sous le nom de Excite x10, avant d’être renommée plus solennellement AT200, la nouvelle tablette du constructeur japonais Toshiba s’invite par la petite porte en France. Voici le test d’une tablette ultra fine, ultra légère armée d’un design réussi qui a le goût d’introduction à la gamme Excite équipée de Tegra 3.

Test de la Blackberry Playbook de RIM avec Playbook OS 2.0

Blackberry Playbook

La BlackBerry Playbook vient de fêter son premier anniversaire, et c’est à cette occasion que nous vous offrons son test !

Il faut bien le dire, il y a des projets auxquels on croit, et des projets auxquels on croit moins. La malhreureuse Playbook fait partie de cette deuxième catégorie. Il y a un an lorsque le constructeur canadien Research In Motion lançait sa petite tablette, elle était confrontée à la suprématie de l’iPad, à l’arrivée de l’iPad 2 et aux premières pousses de tablettes Android. A cette époque RIM n’en était qu’au début de sa grande descente infernale et son produit, quoique atypique, n’eu pas l’effet escompté, et donc le succès prévu.

Aussi, et il faut bien le comprendre, alors qu’Apple vendait son iPad pour attirer les consommateurs dans son éco-système, RIM vendait sa Playbook principalement à ses utilisateurs. Comprenez que pour tirer parti à 100% des capacités de la Playbook, il fallait posséder un smartphone Blackberry. Au moment où la firme perdait près de 10% de parts de marchés, c’était un pari risqué. Enfin, RIM aurait vendu un million de Playbook sur sa première année de vie.

Design & Cœur de l’appareil

Lorsqu’on déballe la Playbook, on est vite séduit par la petite tablette. Elle dégage une impression de fiabilité et de solidité.

La première chose que l’on voit, c’est son écran d’une diagonale de 7 pouces et d’une résolution de 1024 x 600 pixels. C’est un très bon écran, il est lumineux, les angles de visions sont bons, il manque cependant d’un peu de netteté face à un iPad 3 par exemple ou un à Galaxy Note, sa densité n’étant que de 170 ppi.

Toujours sur la façade avant de la tablette, on remarque une diode de notification qui sert aussi comme diode de recharge de la batterie. La tablette dispose d’un capteur photo avant de 3 mégapixels capable de faire des vidéos en 1080p (Full HD). Et de chaque côté de l’écran, la tablette dispose de deux haut-parleurs de chaque côté de l’écran, ce qui lui assure un son stéréo, mais aussi le meilleur rendu sonore toute tablette confondue, selon moi.

A l’arrière de la tablette, on retrouve un capteur photo de 5 mégapixels (Full HD). La coque est en plastique Soft Touch ce qui est très agréable au toucher, de couleur noir ce qui met en avant le logo chromé de RIM.

La tablette est plutôt fine avec son centimètre d’épaisseur et relativement légère avec son poids de 425g.

Sur la tranche basse, la Playbook affiche sa connectique : micro USB, micro HDMI, et un port propriétaire pour la glisser dans un dock ou un clavier.

Sur la tranche haute, on dispose du bouton Marche/Arrêt, des touches Volume +/- et d’un bouton de contrôle de la lecture multimédia Lecture/Pause. Concernant le bouton Marche/Arrêt, il est juste ridiculement petit. C’est le problème de design de la Playbook ! Il vous faudra vous y reprendre plus d’une fois pour allumer ou éteindre votre tablette.

Autre point que 99% des constructeurs ne font pas l’effort de proposer : RIM vous offre une hausse de protection ! C’est simple et ça fait plaisir !

Au coeur de la Playbook, RIM a caché :

  • un processeur double coeur Texas Instrument OMAP 4430 cadencé à 1 Ghz,
  • un processeur graphique PowerVS SGX540
  • 1 Go de RAM
  • 16 Go de stockage interne (existe aussi en 32 Go et 64 Go)
  • une connectique sans fil complète : Wifi a/b/g/n, Bluetooth 2.1 EDR
  • une batterie de 5300 mAh pour une autonomie annoncée de 10h

On trouve aussi le combo accéléromètre/gyroscope pour les senseurs de mouvements.

Prise en main de la tablette

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Interface & Système

Pour ceux qui ne le sauraient pas, la BlackBerry Playbook fonctionne sur un système d’exploitation mobile propriétaire et indépendant de iOS (Apple), d’Android (Google) et de WP7/W7 (Windows). La Playbook marche sur une version tablette de BlackBerry OS, lui même étant basé sur QNX appartenant à RIM depuis 2010. Le constructeur canadien a mis à jour sa tablette en version 2.0 en février de cette année. Cette mise à jour lui apporte plusieurs fonctionnalités et réglages de bugs, ainsi que la compatibilité avec les applications Android.


En terme d’érgonomie et de design, le système d’exploitation se rapproche plus de WebOS (Palm/HP) que d’Android et d’iOS. Deux exemples nous montrent ce rapprochement :

  • Il intégre les gestes apparus avec le tout premier Palm Pré :

    • Passez votre doigt du haut de l’écran vers le bas et vous afficherez un menu contextuel (selon les applications) ou le menu général si vous vous trouvez sur la Home ((l’écran de base)) de la tablette.

    • Passez votre doigt du bas de l’écran vers le haut et vous afficherez la Home ainsi que le lanceur d’applications.

    • Dans une application, si vous passez votre doigt de la gauche de l’écran vers la droite ou vice-versa vous pourrez passer d’une application ouverte à une autre.

  • le système multi-tâche fait appel à des cartes comme sur WebOS et Android 4.0.

De plus, on notera quelques avantages comme les notifications “software” : le coin en haut à gauche s’illumine en rouge lorsque vous recevez un mail. C’est tout bête mais ça permet à une tablette qui ne dispose pas de LED de notification (quoiqu’ici ce ne soit pas le cas), de vous avertir sans être trop intrusif.


Aujourd’hui, l’OS mobile de RIM est mature, il a tout les atouts des grands OS mobiles autant au niveau des options que des fonctionnalités en terme de sécurité et d’indépendances de l’éco-système des smartphones blackberry.


Ce qui lui manque grandement, c’est un marché d’applications fourni dans un premier temps et une capacité à attirer (et à garder) des développeurs à long terme. Et sur ce point, RIM a vraiment du chemin à parcourir.

En février dernier, RIM annonçait avoir 60 000 applications pour son système quant Apple dépasse les 500 000 applications pour iOS et qu’Android dispose de 450 000 applications.

Avec la nouvelle mouture de leur OS, RIM a permis aux développeurs d’applications Android qui le voulaient de proposer leurs applications sur l’App World (le marché d’application de la Playbook). Pour se faire, RIM a mis en place une sorte d’émulateur de l’OS de Google au sein de son propre système d’exploitation.


Cette possibilité a permis à plusieurs développeurs de soumettre très facilement leurs applications à l’App World sans y apporter de grandes modifications par rapport à leurs applications Android. En pratique cependant, on ne retrouve que quelques applications issues du monde d’Android.

Mais il manque des applications très populaires telles que dropbox, evernote, et twitter ! Pire encore, quand on trouve des applications existantes, gratuites ou payantes, sur d’autres plateformes, elles se trouvent presque toujours payantes sur l’AppWorld ! Et quand je dis “payantes” dans ce cas là, comprenez surtout plus cher. C’est le cas d’Angry Birds Rio (dans la catégorie applications payantes les plus téléchargées :

  • Angry Birds Rio sur le Google Play Store – 0 €
  • Angry Birds Rio sur l’AppStore – 2,39 €
  • Angry Birds Rio sur l’AppWorld – 4,99 €


Dernièrement, RIM a annoncé que sa plateforme de téléchargement était plus rentable que, feu l’Android Market, aujourd’hui renommé Play Store. Ainsi, ce serait un profit de 40% en plus pour les développeurs d’applications de l’AppWorld… Mais avec des tarifs comme cela, n’est ce pas normal ?


Enfin, un dernier phénomène qui touche la plateforme de plein fouet : le piratage. Avec l’émulation des applications Android sur la Playbook, RIM a ouvert une brèche que le géant aurait déclaré vouloir fermer 1 mois plus tard. Cette brèche porte un nom : le sideloading. Il s’agit d’une pratique permettant à un utilisateur d’une Playbook de pouvoir installer des applications Android sans passer par l’AppWorld. Et pour l’avoir testé, c’est simple, rapide et sans frais (mais c’est mal !). Cela m’a permit d’installer et de tester TweetCaster et Evernote sur la Playbook.

Cette pratique effraie RIM car elle permet de contourner le paiement des applications dans un premier temps, et pourrait évidemment augmenter la grogne des développeurs qui eux aussi verraient leurs travails se partager entre les utilisateurs sans toucher d’argent en contrepartie.

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